Je le ferai plus tard…
Cher Journal,
Aujourd’hui, je vais aborder un sujet que l’on a tous expérimenté dans une certaine mesure, que ce soit de manière importante ou mineure. Ce sujet est la procrastination.
Ce phénomène courant a un impact négatif sur nos projets, non seulement personnels, mais aussi professionnels.
Les raisons pour lesquelles on peut être amené à procrastiner sont multiples. Parmi ces raisons se trouvent; la peur de l’échec ou de ne pas être à la hauteur, le manque de motivation ou d’un objectif clair, la distraction ou la disponibilité de tâches plus amusantes ou plus intéressantes, entre autres.
Selon Rory Vaden, auteur de plusieurs livres qui abordent le sujet procrastination, et notamment connu pour son œuvre, Procrastinate on Purpose: 5 Permissions to Multiply Your Time, il existe plusieurs façons de procrastiner, l’une de plus connue actuellement est la “Creative Avoidance” ou évitement créatif.
Celle-ci consiste à remplir nos journées avec du travail trivial, ce qui nous donne l’impression d’aller plus vite dans la journée et de faire plein des choses.
En effet, selon lui, le cerveau a besoin d’être récompensé, et toutes ces petites tâches réalisées tout au long de la journée vont nous « occuper à être occupés », mettant de côté ce qui est vraiment important, afin d’alimenter notre subconscient avec le sentiment du devoir accompli.
Lorsque l’on fait par exemple un projet IT, on peut mettre en place plusieurs stratégies pour éviter de procrastiner, par exemple; on peut établir des deadlines claires et réalistes, on peut aussi penser à mettre en place des objectifs SMART, et enfin, on peut créer un environnement de travail favorable.
Chez Nuageo, on fait attention à ces stratégies qui peuvent s’appliquer, d’une part pour faire attention au bien-être des collaborateurs et d’autre part pour offrir des missions adaptées et intéressantes pour l’ensemble de l’équipe.
Cette veille contribue à éviter que la procrastination ne s’installe au sein de notre entreprise.
À présent, on s’appuie sur plusieurs dispositifs pour cela, tels que :
- le suivi régulier des collaborateurs à partir de l’envoie mensuel d’un questionnaire bien-être
- la collaboration et l’accompagnement sur nos missions respectives, par les associés, et par le reste de l’équipe, lorsque l’on trouve des points bloquants dans nos missions
- et finalement, les échanges réguliers, notamment les vendredis lors de nos sessions collaboratives, où l’on peut « lâcher nos valises” et exprimer notre ressenti par rapport à notre quotidien
Combattre la procrastination a d’autant plus d’importance que cela peut affecter notre productivité, notre performance et notre bien-être émotionnel à long terme.
Et toi mon journal, comment fais-tu pour que tes projets ne se voient pas affectés par la procrastination ?